J’ai été absente de ce blog depuis quelques petits mois mais n’ai pas cessé de vagabonder avec le dino !
La vie d’un livre auto-édité est plutôt chronophage il faut avouer et j’avance, étape par étape, en prenant soin de ne pas perdre de vue l’objectif qui était le mien en écrivant ce roman : faire ma part pour aider l’humain à regarder la réalité de la crise (qui n’en est plus une, c’est bien plus profond que ça mais bon…) environnementale et l’effondrement en cours de la biodiversité.
Il est aisé de se perdre et de se faire happer par la course à la présence du roman « partout » -partout est très relatif en auto-édition :)! -, l’envie de parler du roman dans des interviews, d’être tout le temps sur les réseaux sociaux… J’ai fait un peu cela et me suis vite reprise, déjà essoufflée : ce n’est pas le but, pas le mien du moins. Je dois axer mes interventions sur le message qui est le mien, continuer de me former, de me nourrir, de grandir. Et je dois faire confiance au dino pour qu’il trouve sa voie, par lui-même. Il existe, il va se frayer un chemin, j’en suis convaincue.
J’ai eu le grand bonheur d’apprendre la semaine passée qu’il était en train d’être lu par quelqu’un que j’estime énormément, peut-être en reparlerais-je un peu plus tard si la vie le souhaite !
Bon vent mon dino et bon vent à tous, prenez soin de vous.
